Le DPM dans la presse

  • France 3Fête de la science, le CNRS s'ouvre au public, visite insolite au DPM (2023)

    A l'occasion de la fête de la science 2023, le laboratoire DPM ouvre ses portes au public en collaboration avec le CNRS Alpes.

    Visite de laboratoire, conférence et travaux pratique avec réalisation d'amoxicilline sont au programme sous le regard de la caméra de France 3 Alpes.

    Sujet diffusé le 12 Octobre 2023 dans "Ici 19/20".

  • France 3Un jardin médicinal conçu pour les étudiants en pharmacie de l'Université de Grenoble (2017)

    La recherche scientifique s'intéresse de plus en plus aux plantes. Le DPM associe l'étude sur le terrain, dans un jardin médicinal, à la recherche appliquée, en visant la découverte de nouvelles molécules thérapeutiques. L'une des grandes recherches porte sur les plantes alpines, pour leur adaptation à un milieu extrême. « Ces plantes ont développé des mécanismes de survie qui passent par la production de molécule intéressante pour la survie des plantes, mais qui pourraient aussi trouver une activité en pharmacologie en thérapeutique humaine » explique Benjamin Boucherle.

  • France 3Molécule antidouleur : des chercheurs de Grenoble découvrent que l'homme copie la nature sans le savoir (2013)

    Et si l'homme, pour se soigner, inventait des molécules déjà présentes dans la nature! C'est le cas avec le tramadol, une molécule antidouleur de synthèse que l'on trouve déjà dans le pêcher africain. Des chercheurs grenoblois ont fait cette découverte. C'est la première fois qu'un médicament de synthèse issu de l'industrie pharmaceutique est découvert à forte concentration dans une source naturelle. Interview du Professeur Ahcène Boumendjel, chimiste et professeur à la faculté de pharmacie, qui a participé à la trouvaille à l'occasion d'un échange avec des chercheurs camerounais.

  • Le FigaroUn antidouleur synthétique retrouvé à l'état naturel (2013)

    Une substance mise au point dans les années 1970 par l'industrie pharmaceutique dans un médicament de synthèse, le tramadol, vient d'être retrouvée à l'état naturel en Afrique sub-saharienne. C'est l'une de ces belles histoires qui réunit tous les ingrédients du succès : recherche de pointe, médecine traditionnelle africaine, rencontres humaines et, à la clé, une découverte scientifique surprenante. Il s'agit d'une collaboration entre le GIN (INSERM/Université de Grenoble), le DPM (CNRS/Université de Grenoble) et l'Université de Buea, capitale de la région sud-ouest du Cameroun. Leurs résultats ont été publiés dans la revue Angewandte Chemie.

  • Le PointQuand la science double la nature (2013)

    Le monde à l'envers. C'est ce qu'ont dû penser les chercheurs de l'INSERM et du DPM à Grenoble en découvrant l'antidouleur présent naturellement dans Nauclea latifolia, un petit arbuste abondamment répandu dans toute l'Afrique subsaharienne. Car cette molécule est identique au tramadol, un médicament de pure synthèse très largement prescrit comme analgésique dans le monde entier. Cette découverte inédite vient d'être publiée dans le journal de chimie Angewandte Chemie. Ce serait le premier cas potentiellement exploitable d'un médicament de synthèse de l'industrie pharmaceutique découverte dans une source naturelle.

  • EchosciencesUne molécule contre la douleur retrouvée dans une plante africaine (2013)

    Des chercheurs grenoblois ont récemment découvert que le pêcher africain (Nauclea latifolia) [ndlr : récemment renommé Sarcocephalus latifolius], utilisé depuis longtemps en médecine traditionnelle africaine pour traiter la douleur, contient d'importantes quantités d'une molécule antidouleur dans ses racines. Le plus surprenant est que cette molécule naturelle est parfaitement identique à une molécule de synthèse couramment utilisée comme médicament antidouleur : le tramadol. Les chercheurs reviennent pour nous sur leur étude, une aventure humaine et scientifique.

  • Africa24Décryptage — Denis Wouessidjewe — Cameroun (2012)

    La première chaîne mondiale d'information pour l'Afrique, Africa24, part à la rencontre du Professeur Denis Wouessidjewe (DPM, Grenoble). Le 25 septembre 2012, il a reçu la Palme Académique à l'Université Joseph Fourier de Grenoble en France. D'origine camerounaise, ce Professeur de pharmacie envisage désormais de mettre ses compétences au service de l'Afrique. « Aujourd'hui, le challenge que je me donne, c'est vraiment d'essayer d'oeuvrer pour des problèmes de santé en Afrique, en passant par les expertises que j'ai, dont celle de pharmacien et plus particulièrement de galéniste, pour concevoir et fabriquer des médicaments » explique Denis Wouessidjewe.

  • Le Dauphiné LibéréMucoviscidose : « On sait mieux traiter les conséquences » (2010)

    Jean-Luc Decout, chercheur enseignant, ancien directeur du DPM à Grenoble travaille, avec son équipe, en lien avec Vaincre la mucoviscidose depuis 2003. « On a beaucoup avancé dans le traitement symptomatique de la maladie, on sait mieux traiter les conséquences et en on connaît les causes ». Cependant il faut encore avancer sur le traitement des causes. « Une dizaine de produits sont en cours d'évaluation. Reste à savoir s'ils iront au bout, en fonction des effets secondaires et de la toxicité éventuelle ». Pour lui, « il est important de multiplier les approches ».